Samedi 18 octobre 2008 à 22:10

Bonsoir ,

Et bienvenue sur ce blog. Tu dois être aussi perdu que moi pour oser venir errer par ici, vers mon blog. Je ne donne l'adresse à personne, alors apprécie le fait d'avoir trouvé un espace à explorer ou continu ta recherche sur la Toile de la perle rare.

Je n'ai jamais voulu créer de blog, trouvant le principe quelque peu "inuile", montrer des gens en les présentant avec des phrases frôlant souvent l'hypocrisie, montrer notre personnalité en la décrivant comme un vulgaire objet,... notre vie dévoilée aux gens tout simplement cela ne m'a jamais vraiment attiré.Repprochez moi un manque de confiance et vous n'aurrez également pas tout à fait tord... Mais brusque changement , la preuve : tu lis le premier article de mon blog.

Ainsi, je te préviens, je ne te dirais rien de moi ici, je vais juste parler de ce qui me touche personnellement ou impersonnellement, pour être franche, ce blog va être une sorte de psy gratuit , à toi de voir : lire ou partir. 

Juste pour péciser, à propos de mon pseudo, je ne suis pas une fille sombre et déprimée, j'aime la vie, ses joies et ses déboires, ce qui sera possible de remarquer à travers mes prochains articles influencé pas mes humeurs multiples et changeantes. Je suis donc "lostgirl" , une fille perdue dans l'immencité du monde, emmellée dans la Toile, une petite étoile parmis tant d'autre, dans ce ciel noir, briller pour ne pas se faire oublier...

En bref, je suis à la recherche de moi même et cela je pense que je ne suis pas la seule...

Bonne nuit à toi



"Jamais je ne suis seule quand la ville dort..."

 

Dimanche 19 octobre 2008 à 1:10

" Il ne reviendra pas, l'homme qui vivait là..., et il est si loin déjà "
 

 

Il y a 1 an, un garçon m'a dit "je t'aime" et je suis tombée amoureuse de lui. Depuis, nos chemins se sont entremellés et finallement séparés. Pourtant, son ombre continuait à marcher auprès de moi, sans que je m'en rende compte, ou plutôt sans que je veuille m'en rendre compte.

 

Aujourd'hui, sa route a croiser un autre chemin et ce n'est plus le mien. Ils marchent désormais tous les deux, main dans la main, sur cette route sans fin.

 

Moi aujourd'hui, un fossé s'est creusé sur mon chemin et je n'arrive pas à la contourner. Je sais que je peux y arriver, à cause de ce garçon, ma route possède de nombreux ponts, mais mes mains tout comme mon coeur sont écorchées. Et plus je taille les cailloux pour me créer un passage, plus je me rends compte que mon coeur devient froid et lourd comme la pierre.

 

Je chasse le désespoir qui s'est installé depuis longtemps et petit à petit je ne me créé pas un pont mais des ailes pour voler au dessus de ces trous béhants, pour voler au dessus de lui, pour lui montrer que je ne lui appartiens plus, pour me montrer que je ne lui appartient plus.


"la prochaine fois je prendrais le bus"

 

Dimanche 1er février 2009 à 22:47

http://lostgirl.cowblog.fr/images/P1030121.jpg

 
"Parce que ceux qui ne bougent pas, ne sentent pas leurs chaînes..."
Rosa Luxembourg

Mercredi 14 octobre 2009 à 4:51

Il est tout petit, minuscule et sa sonorité n'est pas particulièrement belle.

On l'entend, on le voit partout : il est bien trop souvent utilisé si bien que certains en ont oublier sa réelle signification.

Et ne parlons pas de ses traductions multiples, lançées à tout bout de champs dans les spots publicitaires ou écrits sur les vêtements.

C'est un des premiers mots que l'on apprend et on le lance à nos parents. Ils sont heureux, alors on le dit tout le temps. Et même à ses amis plus tard.

Mais pourtant, lorsque l'on voudrait le dire à la personne auquelle on le destine vraiment, "pour de vrai", on ne s'en souvient plus, les syllabes restent bloquées au fond de notre gorge. La pression est là, l'envie terrible de le dire aussi.

Mais on attend, difficilement, que Lui le dise ...

Que nous sommes bête, nous et ce petit mot 
je t'aime ...

Mercredi 14 octobre 2009 à 5:05

Il ne faut pas être diplomé d'architecture pour savoir que si on enlève à un édifice ses fondations (ce qui d'ailleurs n'est pas simple), il s'écroule. C'est une règle d'or que chaque constructeur en tout genre doit avoir en tête.
Cependant, cette représentation visuelle est parfois dure et complique les choses lorsque l'on construit dans le figuré...

En effet, un couple, s'il décide de fonder une famille, entreprend un véritable chantier dont la base est tout simplement l'amour qu'ils ont l'un pour l'autre.
Alors, lorsque celui ci n'éxiste plus, il n'est pas étonnant que tout tombe en ruine.
A quoi bon rester aux milieux de ces cailloux et constater tristement l'éffondrement de seul cadre que l'on connait depuis notre naissance ?
A quoi bon rester à découvert, dépourvu de la sécurité réconfortante que peuvent apporter un papa et une maman, un mari et son épouse, un homme et une femme ?
C'est la fin d'un environnement simple alors ne restons pas dans cette impasse...

Désormais, j'ai accepté l'idée que mes parents ne s'aiment plus, j'ai accepté la dérive de ma famille: c'est la fin d'une enfance heureuse

Je n'ai plus que mes souvenirs ...

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