A Toi,
Toi qui, un soir d'été m'a regardé comme personne d'autre, allongé sous un cerisier, après que j'ai, comme à mon habitude, parler un peu trop, tu m'as souris en prononçant ces mots "tu es profondément humaine".
Moi, qui pensait que toutes mes erreurs de parcours me définirait à jamais, qu'elles m'avaient marqué au fer rouge, j'ai ouvert les yeux sur ce que j'étais vraiment lorsque tu as prononçé ces mots. Tu as réussit à percer cette armure derrière laquelle je m'étais cachée et dont j'étais devenue la prisonnière, perdue. Tu m'as ouvert les yeux et c'est sans aucun doute à ce moment là que j'ai commencé à t'aimer.
Sous ce cerisier, je t'ai laissé m'explorer, tu m'as trouvé toute entière. Je t'ai laissé enlever mes barrières en me donnant à toi, sans peur, ni crainte. Et lorsque j'ai prononcé ces mots "Embrassez moi mon cher", te souviens tu le sourire que tes lèvres ont dessiné ? Il était à peine visible, discret mais il a illuminé ton visage. Alors tu t'ai penché vers moi pour déposer au coin de mes lèvres, un baiser. Trop poli à mon goùt, je l'avoue, mais après réflexion, aucun autre n'aurait été aussi marquant, car justement, l'explicite à tendance à accélérer le temps. Tu as été parfait, sous ce cerisier, tu m'as rendu amoureuse.
Toi qui, un soir d'été m'a regardé comme personne d'autre, allongé sous un cerisier, après que j'ai, comme à mon habitude, parler un peu trop, tu m'as souris en prononçant ces mots "tu es profondément humaine".
Moi, qui pensait que toutes mes erreurs de parcours me définirait à jamais, qu'elles m'avaient marqué au fer rouge, j'ai ouvert les yeux sur ce que j'étais vraiment lorsque tu as prononçé ces mots. Tu as réussit à percer cette armure derrière laquelle je m'étais cachée et dont j'étais devenue la prisonnière, perdue. Tu m'as ouvert les yeux et c'est sans aucun doute à ce moment là que j'ai commencé à t'aimer.
Sous ce cerisier, je t'ai laissé m'explorer, tu m'as trouvé toute entière. Je t'ai laissé enlever mes barrières en me donnant à toi, sans peur, ni crainte. Et lorsque j'ai prononcé ces mots "Embrassez moi mon cher", te souviens tu le sourire que tes lèvres ont dessiné ? Il était à peine visible, discret mais il a illuminé ton visage. Alors tu t'ai penché vers moi pour déposer au coin de mes lèvres, un baiser. Trop poli à mon goùt, je l'avoue, mais après réflexion, aucun autre n'aurait été aussi marquant, car justement, l'explicite à tendance à accélérer le temps. Tu as été parfait, sous ce cerisier, tu m'as rendu amoureuse.